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Elchacar, Mireille (2022). Le modèle québécois de lutte aux anglicismes : une approche « mur à mur »?. Espaces linguistiques (4). https://doi.org/10.25965/espaces-linguistiques.466
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- espaces_linguistiques.466.pdf
Contenu du fichier : Version de l'éditeur |
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Catégorie de document : | Articles de revues |
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Évaluation par un comité de lecture : | Oui |
Étape de publication : | Publié |
Résumé : | Le Québec est réputé suivre sa propre norme en matière d’anglicismes. En raison de l’histoire de l’anglicisation du français au Québec, les anglicismes sont, de manière générale, relégués au registre familier et remplacés, dans un registre standard, par les équivalents français proposés par l’Office québécois de la langue française (OQLF). Cette tendance générale connaît par contre certaines limites. Dans le cas des néologismes issus de la diversité de genres et d’orientations sexuelles, les équivalents français approuvés par l’OQLF pour remplacer l’anglicisme queer n’ont pas été repris par la population, si bien que l’OQLF n’en préconise plus l’usage. Dans le cas de certains anglicismes de la langue courante implantés depuis longtemps au Québec et également employés en France, on sent une légère augmentation de l’influence du français de France dans la presse écrite. Ceci amène parfois à utiliser weekend au lieu de fin de semaine, à employer job au masculin plutôt qu’au féminin et, plus marginalement, à omettre le déterminant qui accompagne fun (c’est fun). |
Adresse de la version officielle : | https://www.unilim.fr/espaces-linguistiques/466 |
Déposant: | Elchacar, Mireille |
Responsable : | Mireille Elchacar |
Dépôt : | 07 déc. 2022 16:42 |
Dernière modification : | 07 déc. 2022 16:42 |
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